la forme de l'eau critique

la forme de l'eau critique

Retrouvez nos critiques ciné sur le Tumblr : Be French ! Lire ses 2 184 critiques, Suivre son activité De 341 abonnés Lire ses 3 132 critiques, Suivre son activité Somnolences, distractions, égarements dans mes pensées, récapitulatifs des courses que j’avais à faire après la séance : tout y est passé… Et si d’un côté je maintiens le fait que ce film n’est certainement pas hideux à voir, d’un autre côté je ne peux nier que l’égrènement des minutes fut pour moi de plus en plus rude tellement je n’ai pu me raccrocher à rien. Parfois on a l’impression d’avoir une succession de scènettes avec des personnages différents. Les Russes sont un peu plus folklos avec LE chercheur au grand coeur. Ah il est loin le réalisateur qui pouvait sans rougir assumer la comparaison avec Tim Burton avec « le labyrinthe de Pan » ou « Crimson Peak » ! La forme de l'eau critique la presse Retrouvez les 1030 critiques et avis pour le film La Forme de l'eau - The Shape of Water , réalisé par Guillermo del Toro avec Sally Hawkins, Michael Shannon, Richard Jenkins «La Forme de l'eau» : un époustouflant conte fantastique Avec son dernier film, Guillermo del Toro nous livre une romance passionnelle et poétique, qui séduit tant sur la … « La Forme de l’eau » sous ses airs de conte fantastique alléchant, nous propose un mélange de la « Belle et la Bête », de « E.T. Mais on reste sur notre faim, il règne un sentiment d'incomplet et parfois de semi-fadeur (impression confirmée par les partitions d'Alexandre Desplats, comme d'habitude pas mauvaises mais plates). Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Ouverture. Tout est tellement prévisible, calibré, habituel ! Le premier est la satisfaction : celle d’avoir vu Guillermo Del Toro développer pendant deux heures supplémentaires son univers si particulier, démontrant qu’il fait toujours volontiers montre, plusieurs années après ses débuts, de la même sensibilité de … C’est d’autant plus dommage, car avec cet univers épatant si réussi et si flatteur à l’œil, il ne manquait pas grand chose pour faire de cette fable fantastique un vrai sujet digne d’intérêt et de plaisir, afin de s’y plonger complètement en rejoignant ainsi véritablement notre héroïne et son prince charmant comme on l’espérait ! D’autant plus que l’histoire est tentante, et que l’entrée en matière dès les premières images magnifiques et très étonnantes, est franchement très prometteuse... OK, son pote est seul parce qu’il est gay et qu’à cette époque ce n’est vraiment pas facile à vivre. Privée de sa voix, elle est placée sur un pied d'égalité avec le monstre en étant désarmée et partage avec lui des scènes pour le moins impudiques (longtemps qu'on avait plus vu quelqu'un oser filmer des corps nus sans aucune gêne mais qui ne sombre pas dans l'insolence). Oscar du meilleur film ! Je suis presque désolé de mettre une note aussi basse… Mais bon, mon souci d’honnêteté m’oblige à accorder ma note à mon sentiment. Certain en attendait peut-être beaucoup de ce film et ont été déçus, d’autres ont été touchés par la poésie narrative et visuelle de ce film; dont moi. Le Labyrinthe de Pan aurait par exemple (c’est mon avis) davantage mérité de se voir offrir l’Oscar du meilleur film. Lire la critique de La Forme de l'eau, Déjà, pour se la péter un peu, car c'est aussi à ça que sert SC, petit point sur les conditions de visionnage de ce film. Les dernières minutes s’étirent longuement dans l’ennui. Sans eau, il n’y a pas de vie et le saké est fait de riz, de koji et de levure qui sont des organismes vivants. La seule scène d’introduction suffit d’ailleurs à rappeler le talent de formaliste de l’ami Guillermo del Toro. Mais ce plébiscite critique et public ne m'empêchera pas de faire entendre une voix dissonante. Lire ses 425 critiques, Suivre son activité La somptuosité gothique des décors ? Snif ! Donc Amélie Poulain est descendue de la butte Montmartre, elle fait le ménage dans un labo où elle a une bonne copine et là elle tombe amoureuse d'un monstre marin autour duquel ça se bagarre sec entre militaires et scientifiques. l'hymne à la tolérance ? Certes, Del Torro sait faire de belles images, mais ici, le film rate totalement son propos. OK, l’héroïne est muette mais ça n’en reste pas moins une héroïne ; OK elle aime prendre le temps de se masturber tous les matins et on nous le rappelle bien histoire où on l’oublierait. Lire ses 1 454 critiques, Suivre son activité A fuir ! Quand le générique de fin de La forme de l’eau apparaît à l’écran, deux sentiments dominent l’esprit du spectateur. Et on a un peu honte d’avoir vu ce film, tellement indigne dans son traitement de Guillermo del Toro et ce à quoi il nous a habitué. Pourquoi pas après tout ? Proposant de belles fulgurances, il oscille toujours entre une douce poésie et une violence brutale. Alors oui la poésie est toujours à fleur de peau, mais elle semble tellement édulcorée, fade et gratuite que l’ensemble manque franchement d’une vraie personnalité, ce que le dernier « Crimson Peak » du même cinéaste, possédait et revendiquait justement à fond ! Preuve en est, La forme de l’eau est aussi reparti avec le Lion d’Or à la Mostra de … Politique de cookies | Critique de La Forme de l'eau par Ben Ric, Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau. Un film d’une bêtise et prétention sans borne servis dans un cadre brouillon, pas malin et indigent ! Si l'univers est incroyable, l'ambiance sublime, Sally Hawkins extraordinaire, Michael Shannon excellent et les hommages cinématographiques nombreux avec un superbe vrai costume, c'est-à-dire pas des images de synthèse. Recrutement | Fanny Liatard, Jérémy Trouilh, Avec Pourtant, Guillermo Del Toro, aussi sacré meilleur réalisateur aux derniers Golden Globes, livre un film hommage aussi artificiel qu’anodin. Film très fade, affadi encore si c'était possible par une production hollywoodienne terne. Prévisible car le scénario en lui-même est, dans sa globalité, sans surprise : un être différent de nous est torturé et étudié pour sa différence, et trouve des alliés eux aussi considérés comme différents et méprisés en tant que tels. On finit par se moquer de ce qui peut leur arriver. Les personnages pas très bien brossés psychologiquement . Alors ce n'est pas mauvais, il y a plein de bonnes choses dans le film, comme le fait que ça ne soit pas un film sans âme et générique. Et même cette créature mi homme mi poisson, pourtant intéressante par son aspect et son regard, manque de réelle présence pour véritablement nous émouvoir... 152 abonnés Je pourrais vous dire que son action se déroule au début des années soixante, en pleine Guerre froide, à Baltimore, que son héroïne est une jeune femme muette employée comme femme de ménage dans une base secrète de l'armée américaine, qu'une créature aquatique, mi-poisson, mi-homme, y a été capturée et y est soumise aux pires sévices par un gardien sadique, que notre héroïne se prend de compassion pour la mystérieuse créature et décide de la libérer avec l'aide d'une collègue noire, d'un voisin homosexuel et d'un espion russe. 14 abonnés Fishpond New Zealand, Doctrine, Histoire, Pratique Et R forme Financi re, Critique de la Science Des Finances (Sciences Sociales) by Emile WormsBuy . La renaissance de Guillermo Del Toro Après deux ans d’absence remarquée, Guillermo Del Toro est de retour avec La Forme de l’Eau, ces dernières années n’ayant pas été de tout repos pour cet auteur-réalisateur. Passé le discours général, vantant un respect mutuel malgré nos différences, le scénario reste expéditif et franchement convenu. Je pourrais - comme je m'évertue à le faire chaque matin - faire un effort et vous présenter un résumé autrement plus élaboré de "La Forme de l'eau". Les Américains sont des brutes épaisses, surtout ceux pour qui le maître mot est sécurité. 6.5 /10 Créez un compte ou … Les autres personnages ? 71 abonnés Porté par Sally Hawkins (Elisa), ce film permet un véritable retour aux sources pour le cinéaste mexicain qui n'a pas volé les quatre Oscars (film, réalisateur, musique, décors) reçus pour sa nouvelle production américaine. 42 abonnés Simon McQuoid, avec Ce conte fantastique, inspiré de L’Etrange Créature du Lac Noir (1954), crée une poésie à travers l'entrelacement de deux corps que tout oppose. Freak d’eau. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Article publié sur https://www.hop-blog.fr/ De "La belle et la bête", à "ET", de l'univers de Jeunet pour les décors, les thèmes récurrents de la tolérance et la peur de l'inconnu, on assiste à une succession de clichés, un scénario cousu de fils blancs en cherchant tout au long de ces deux heures, d'ailleurs pas désagréables en soi, ce qui suscite cette envie de récompenses dans tous les pays. Et comme disait je ne sais plus qui : "Le moins bon film d'Hitchcock sera toujours bien meilleur que le meilleur des films de beaucoup d'autres réalisateurs", et ça marche tout à fait ici. Vous aimerez peut-être "Le grand triton" de Guillermo del Toro [je viens de passer deux heures à chercher l'équivalent masculin de la sirène et ne me cherchez pas des poux dans la tête si le triton ne correspond pas tout à fait]. La Forme de l’Eau est un conte étrange, difficile à définir. Tout n'est que du déjà-vu : genre "la belle et la Bête", mais en 10 fois moins bien, façon gentil Monstre des marais, avec une leçon de morale bienpensante : "rejeter les autres, c'est pas beau". Mais, pourquoi me regardez vous comme cela ?? Sûrement que La forme de l'Eau fera son effet à Hollywood, mais avec le temps il intégrera la longue liste des films oubliables. Un peu plus de 2 ans après Crimson Peak, Guillermo Del Toro est de retour avec La Forme de l'Eau, une nouvelle réalisation aux accents fantastiques (on ne se refait pas) dont il signe également le scénario. Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Avec Quand je dis ça se bagarre c'est entre Dr Folamour et films d'espionnage années 50. Le copier-coller de la créature du lagon noir sorti en 1954 - qui fut le premier film visionnable en trois dimensions grâce à des lunettes bicolores. Peut-être trop ? LA CRITIQUE DE LA FORME DE L’EAU Résumé : Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultra-secret, Elisa mène une existence morne et solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. C’est un des films les plus médiocres, fade et mal traités que j’ai vus ces 3 dernières années, vraiment . Car hélas, même si l’intrigue est bien là, même si l’ambiance est au rendez-vous, on espère un peu plus de punch, qui aurait pu casser cet aspect un peu niais et gentillet que trimbale chaque personnage, alors que la bande son fait tout pour aller dans ce sens très sirupeux, elle aussi. Lire ses 508 critiques, Suivre son activité Certainement pas le film oscarisé qu'on encense, mais attention, loin d'être un mauvais film tout de même. Il est pas frais mon poisson ? Amateur de Guillermo Del Toro, un des cinéastes contemporains les plus talentueux en termes visuels et narratifs, je dois avouer que son *Shape of Water* ne m'a pas procuré l'effet escompté, plutôt un agréable divertissement qu'un film profondément touchant comme a pu l'être *L’Échine du Diable* ou *Le Labyrinthe de Pan*. Bref, un film d'une très grande fadeur et plutôt bouffi de clichés (un monstre gentil, une handicapée émouvante, une noire femme de ménage, un blanc méchant, le racisme des années 60, etc. Joe Taslim, Josh Lawson, Contact | Si les notes de nos chers éclaireurs tombent, plus dithyrambiques les unes que les autres (c'est pour... A retenir également la musique magnifique de Desplat. Entre la réalisation de son blockbuster Pacific Rim, l’écriture du Hobbit et le bide de Crimson Peak, c’est une décennie mitigée. Votre avis sur La Forme de l'eau - The Shape of Water ? Dans l’œuvre prolifique de Guillermo del Toro, "La Forme de l'Eau" apparaît comme une fable, très prévisible et aux accents poétiques. Des gentils très gentils, des méchants très méchants, ainsi que les péripéties habituelles… J’ai eu l’impression de revoir un copier-coller d’« E.T. Bon, avouons le tout de suite, j'ai été déçu par ce film, notamment au regard de tout ce que j'en avais entendu avant, c'est d'ailleurs peut-être là l'erreur! 433 abonnés Découvrez la critique du film La Forme de l'eau de Guillermo del Toro - Lauréat du Lion d'Or à Venise, puis oscarisé, La Forme de l'eau est le triomphe de … Découvert le 15 octobre 2017, lors du génialissime Festival Lumière de Lyon, La Forme de l'Eau nous a été présenté par Del Toro lui-même, ainsi qu'Alexandre Deplat qui visiblement était dans le coin aussi. Qui sommes-nous | L’académie ne devait pas encore être prête en 2006 à offrir un tel prix à un film fantastique. Verdict d’après-séance dans cette nouvelle critique sur MediaShow. "La Forme de l'Eau" ("The Shape of Water") marque le retour très remarqué de Guillermo Del Toro avec ce long métrage qui fait énormément parler de lui. » mais avec une créature du « Festin nu » en guise de bestiole à sauver. Lire l'avis à propos de La Forme de l'eau, Je suis vraiment déçu par ce film, j'adore ce que peu faire Del Toro, mais c'est sans doute celui que j'aime le moins avec Blade II. 13 fois nommé aux Oscars 2018...Je ne comprends pas !!! Del Toro oblige, La Forme de l'Eau est visuellement très riche, référencé et techniquement sans faille. 556 abonnés L'héroïne muette ? Malheureusement, là où cet élément permettait à ses précédents films d'atteindre une certaine profondeur et de s'ériger au rang d'oeuvre filmiques majeures, il agit là en temps que piqûre de rappel, nous tapotant l'épaule ça et là pour maintenir une certaine attention mais n'allant pas vraiment plus loin que l'expression de l'identité de son auteur.

Carte De Voeux 2020 Cycle 2, Aménagement Bass Boat, Parc Loisirs Côtes D'armor, Lonction Du Père Spirituel, Perceuse à Percussion Filaire Bosch Professional 1100w, Scolarité Upjv Sciences, Spa La Réserve Paris, Programmation En C, Pizzeria Moule Guadeloupe, Restaurant Colmar Ouvert Dimanche, E-services/enregistrement Royal Air Maroc, Toile Peinture 200x150,

Share

Leave a Comment