abou hanifa mariage

abou hanifa mariage

Or, ce principe général, Ibn Abbâs (de même que Ibn Mas'ûd) l'avaient compris par extrapolation de plusieurs textes particuliers, et l'avaient énoncé ainsi : "Le jeûne est annulé par ce qui entre (dans le corps) et non par ce qui en sort. À cette parole, se rattachent les jugements [concernant l’acte de mariage]. Et du moment que [la possession] d’un bien n’est autorisée qu’en échange de quelque chose, le fait de jouir des rapports intimes [avec la femme] n’est, alors, permis qu’en échange d’une dot. 15/07/2018 . correspondant au 19 mai 2009 G. Sheikh ‘Abd Allâh An-Najmy L’appelant : Il existe, dans un pays européen, un frère qui organise des excursions,…, Sheikh ‘Abdel ‘Aziz Ibn Muhammed Ibn Ibrahim ‘Abdellatif Ce qui est voulu quand on parle de mensonge au…, Sheikh Mohammad Ali Ferkous Question : Quel est le jugement concernant la célébration des fêtes de mariage dans…, Sheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine Question : On a demandé à l’honorable Sheikh : Qu’en est-il d’un homme…, Sheikh Tal’at Zahran Certains membres de notre communauté, certains musulmans et certaines musulmanes s’étonnent de l’animosité et de…, Comité permanent [des savants] de l’Ifta Question 1, 2 : L’usure est-elle absolument interdite où qu’elle existe et…, Tout ce que tu recherches en quelques clics…, Partir à l’aventure dans un pays mécréant, Définition du mensonge et du menteur dans la science du hadith et acceptation ou non du repentir du menteur, Organiser le festin de la fête de mariage dans une salle des fêtes, Il s’est converti, mais ne veut pas quitter le pays où l’infidélité est la norme…. Lire à ce sujet : "At-ta'wîl" : la raison peut-elle prendre un texte dans un sens allégorique ? (sa chaine de transmission est bonne) ( il voyait l’épée : Expression donnée chez les salafs à ceux qui voyaient l’autorisation de sortir contre les gouvernements muslims. Est-ce que les grandes ablutions dispensent d’effectuer les ablutions mineures ? Introduction Mosquée de l’Imâm Abû Hanîfah. Pour ce qui est des conditions de la validité du contrat de mariage dont un défaut de l’une d’elles implique l’annulation du contrat, nous les résumerons comme suit : Premièrement : Le tuteur de la femme représente l’une des conditions pour la validité du contrat de mariage. Celle de Kufa était bâtie quant à elle sur les fatwas de Ibn Mas'ûd, les fatwas et les jugements de Alî et les jugements de Shurayh et d'autres juges de Kufa. Les voix de l'islam. cit., p. 459) – comme d'autres n'étaient pas parvenus à Omar ibn ul-Khattâb, d'autres encore à d'autres mujtahidûn comme Mâlik, ash-Shâfi'î, etc. Mais Abû Hanîfa pense quant à lui qu'il est permis de faire ce sermon dans une langue autre que l'arabe car l'objectif est le rappel adressé aux fidèles (voir Jadîd fiqhî massâ'ïl, pp. Pourquoi n’aiment-ils pas les musulmans ? 5,0 sur 5 étoiles 3. Et il a également été rapporté de lui que les pieds de la femme font partie de la ‘awra. Il est connu comme le référent ("imâm") d'une école d'interprétation juridique du droit musulman. Ceci pour annoncer et rendre public (I’alân) le mariage. Shâh Waliyyullâh écrit que si le Coran et la Sunna attribuent parfois au cœur les qualités qui relèvent en fait d'autres constituants de l'homme, c'est parce qu'ils utilisent parfois ce terme "cœur" d'une façon large (tassâmuh) : ils attribuent donc au cœur, dans un sens figuré, de nombreuses qualités, qu'il s'agisse de qualités qui sont réellement celles du "cœur" ou qu'il s'agisse en fait de celles de la "raison" ou encore de celles relatives aux pulsions corporelles naturellement présentes chez l'homme (Hujjatullâh il-bâligha, tome 2 p. 273). En une autre occasion, ayant été informée de ce que Abdullâh ibn Omar rapportait, Aïcha remarqua : "(Abdullâh) n'a pas menti, il a fait erreur." En outre, le contrat de mariage doit être exempt de toute cause interdisant l’union conjugale qui entraînera son invalidation, comme le fait que la femme [demandée en mariage] fasse partie de celles qui sont interdites à l’homme à cause d’un lien de parenté ou d’allaitement, ou qu’elle soit en période de viduité ou autres, ou que l’homme (le prétendant) soit un mécréant et la femme une musulmane. Ibn Abbâs était donc d'avis qu'à la lumière de ce principe, ce Hadîth du Prophète ne pouvait pas signifier que les ablutions étaient annulées "à cause de ce qu'a touché le feu", d'autant plus que les ablutions faites avec de l'eau chaude étaient valables. Abû Hanîfa ne connaissait-il que très peu de Hadîths, Abû Hanîfa n'était-il pas fiable en tant que transmetteur de Hadîths (, Abû Hanîfa entendait-il donner préférence à ses opinions personnelles sur les textes des Hadîths, Ci-après 4 dimensions qui mettent en exergue les spécificités de cette tradition hanafite en matière d'interprétation des textes, La lecture d'un texte à la lumière du principe général issu de l'ensemble des autres textes (, L'extraction de règles des Hadîths avec quelques conditions, La lecture des Hadîths à la lumière des principes issus du texte du Coran, La compréhension d'un Hadîth donné à la lumière du principe dégagé de l'ensemble des autres Hadîths, La compréhension d'un texte à la lumière du contexte de l'époque du Prophète (, Au-delà de la seule lettre d'un texte, la compréhension de son objectif (, La compréhension d'un texte à la lumière de ce qui est démontré par l'observation (, - Différentes tendances interprétatives : أهل الظاهر وأهل الحديث وأهل الرأي, on dit de Abû Hanîfa qu'il est de l'école des ", transformer soi-même de l'alcool en vinaigre, vendre et acheter un chien qu'il est autorisé de garder chez soi. Certes, cette question, ainsi que cette parole de Omar, font l'objet de longues discussions parmi les savants, mais ce qui m'intéresse ici est seulement de montrer qu'avant Abû Hanîfa, des Compagnons ont eu recours à ce principe de comprendre le texte que quelqu'un relate du Prophète à la lumière du principe général qu'offre le Coran. [12] Rapporté par Abou Dâwoûd, chapitre du « Mariage » (hadith 2159), par Ahmed (hadith 11911), par Ed-Dârimi dans ses « Sounane » (hadith 2350), par El-Hâkim dans « El-Moustadrak » (hadith 2790), par El-Beyhaqi (hadith 11105) par l’intermédiaire d’Abou Saïd El-Khoudri . IqraShop.com Site marchand spécialisé dans le produits culturels islamiques (livre, logiciel, cédérom, cassette audio & vidéo, articles divers). [13] Rapporté par Abou Dâwoûd, chapitre du «Mariage» (hadith 2160), par Ahmed (hadith 17435), par El-Beyhaqi (hadith 16002) par l’intermédiaire de Rouweyfi`Ibn Thâbite El-Ansâri . Shâh Waliyyullâh écrit que ce fut Sa'ïd ibn al-Mussayyib qui fut le chef de file de l'école du Hedjaz et Ibrâhîm an-Nakha'î celui de l'école de Kufa. Abû Hanîfa a donc quelques conditions pour extraire une règle d'un Hadîth donné, qui est certes authentique mais qui n'est pas "mutawâtir" ni "mash'hûr". D'ailleurs Ibn Ma'ïn a un avis défavorable à propos de ash-Shâfi'î en tant que transmetteur de Hadîths (Dars-é Tirmidhî, p. 100). Sa jeunesse : Depuis sa plus tendre enfance, après avoir mémorisé le Noble Coran, il partait s'agenouiller dans ces cercles de sciences. – La première concerne le jugement du mariage avec une fornicatrice. Pour cela, Allâh عزّ وجلّ a établi la parole comme moyen d’exprimer le consentement éprouvé dans le cœur. à Koufa en Irak. Livraison à 0,01€ par Amazon. Se mélanger aux mécréants lors de leurs fêtes religieuses ou non, Une chose à laquelle les parents ne doivent pas être insouciants. Mais plus tard, l'aisance venue, les rideaux [et les portes intérieures] firent leur apparition ; le rideau défait [ou la porte fermée] avait la même valeur qu'une réponse négative à la demande verbale de permission d'entrer dans la pièce, et il remplissait le même objectif ; c'est pourquoi les enfants n'eurent plus recours à la demande verbale de permission d'entrer (c'est le sens de ce que Ibn Abbâs a dit : rapporté par Abû Dâoûd, n° 5192, voir aussi Zâd ul-ma'âd, tome 2 p. 434). Il est exigé que la formule de la demande et de l’acceptation soit émise par des paroles qui signifient le mariage, sans employer forcément les mots : marier et épouser. La demande émise par la parole de l’un des deux contractants exprime sa volonté d’instaurer une relation conjugale [avec l’autre partie contractante], alors que l’acceptation qui vient, ensuite, étant émise par la parole de l’autre partie contractante, exprime son consentement au contenu du contrat. Imam Aboû Hanîfa (L') : Sa vie et son époque, ses opinions et son fiqh . » Il répondit صلَّى الله عليه وسلَّم: « [On peut le comprendre] si elle se tait »(8). "At-ta'wîl" : la raison peut-elle prendre un texte dans un sens allégorique ? Shâh Waliyyullâh écrit enfin que Mâlik ibn Anas "hérita" de la jurisprudence de l'école du Hedjaz (surtout de Médine) et Abû Hanîfa de celle de l'école de Kufa (Hujjatullâh il-bâligha, 1/404-420). Abou Abdillah Muhammad ibn Idrîs est né en 150 de l’hégire (772 de l’ère grégorienne) à Gaza en Palestine, le jour de la mort de l’imam Abou Hanifa. Fatwa n° 464. Lorsqu’elle mit le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم au courant de cela, il annula son mariage ». Cela dit : La conclusion du contrat de mariage réside dans le consentement des deux parties contractantes par rapport à son contenu. En un mot, Kufa était un lieu où, contrairement à ce que certains croient, les sciences religieuses (sciences liées au Coran, Hadîths et Fiqh) étaient développées. Yesterday. 1.2) La lecture des Hadîths à la lumière des principes issus du texte du Coran : Ce que l’on vient de citer sont les conditions desquelles dépend la validité du contrat de mariage et en fonction desquelles les conséquences du mariage se produiront, sachant que le manquement à l’une d’elles entraînera l’annulation du contrat. Omar ibn ul-Khattâb observa que cette femme s'était peut-être trompée sur le sens de la parole du Prophète, car ce qu'elle relatait là n'était pas en accord avec ce qui est établi de principes du Coran et de l'ensemble de la Sunna du Prophète (rapporté par Abû Dâoûd, n° 2291). En vérité, comme l'a écrit Ibn Abd il-Barr, tout ce que certains spécialistes de Hadîth reprochaient à Abû Hanîfa – et c'est ce qui les a conduit à dire qu'il était inapte en tant que transmetteur de Hadîths – est qu'ils pensaient qu'il prenait davantage en compte ses opinions personnelles que les textes des Hadîths (Al-Intiqâ'). Et c'est surtout Hammâd ibn Sulaymân, célèbre spécialiste de Hadîths et de fiqh qui a formé Abû Hanîfa (Hammâd figure en tant que maillon de chaîne de transmission dans Sahîh Muslim, Sunan Abî Dâoûd, Sunan at-Tirmidhî). 1:54. C'est cela qui cause parfois certaines incompréhensions. Je dirai même : comment alors un spécialiste de Hadîths tel que at-Tahâwî a pu se dire hanafite et écrire des ouvrages tels que Shar'hu ma'âni-l-âthâr et Shar'hu mushkil il-âthâr ? Un autre Hadîth précise que lorsqu'on échange "du blé contre du blé, de l'orge contre de l'orge, des dattes sèches contre des dattes sèches, du sel contre du sel", ce doit être "mesure contre mesure égale" (rapporté par Ahmad, n° 6874). L’imam Abou Hanifa رحمه الله était d’avis que l’usure peut être permise, mais sous certaines conditions que malheureusement la plupart des gens qui disent se référer à son avis ne prennent pas en compte. Si j'ai cité ici un avis de Abû Yûssuf, ce n'est pas parce que de tels exemples ne sont pas disponibles à propos de Abû Hanîfa : d'autres avis du même genre existent relatés de Abû Hanîfa, mais ils sont plus complexes et seraient plus longs à expliquer ici : ainsi, qui sont l'ensemble de ceux qui supporteront le dédommagement à payer en cas de coups ayant entraîné la mort ? Nous allons aborder ensemble ce que vous avez soulevé de questions…. Puis elle expliqua qu'en fait, le Prophète était passé près de la tombe d'une personne morte en étant incroyante. Encore un point : le fait que Abû Hanîfa n'ait pas été cité en tant que transmetteur dans les recueils classiques de Hadîth n'est pas non plus une preuve qu'il est inapte en tant que transmetteur. Par contre il arrive que le texte même d'une parole que le Prophète a prononcée dans un cas particulier soit comprise un peu différemment par un Compagnon (des exemples vont suivre). Sa Biographie. Sinon, eh bien nous n'allons pas délaisser [la règle générale et apparente] que dit le Livre de Dieu…" (rapporté par an-Nassâ'ï, n° 3549). - Ici c'est un des avis relatés de l'élève de Abû Hanîfa, Abû Yûssuf, que nous reproduisons : le Prophète (sur lui la paix) a dit : "De l'or contre de l'or, de l'argent contre de l'argent, du blé contre du blé, de l'orge contre de l'orge, des dattes sèches contre des dattes sèches, du sel contre du sel : quantité égale contre quantité égale, main à main. Si le mari s'avère indigne ( pervers... ), le wali a le droit de faire annuler le mariage selon Abou Hanifa. « Un homme s’était mis debout et dit au Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم : “Marie-la moi.” Le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم lui dit : “Offre-lui un habit.” L’homme lui répondit : “Je n’en ai pas.” Le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم lui dit alors : “Offre-lui au moins une bague en fer.” L’homme répondit toujours par la négative. Cette lecture d'un texte donné à la lumière des principes généraux extraits des autres textes déjà établis, Abû Hanîfa na l'a pas inventée non plus. À ces deux fondements, se relient les conditions exigées dans la conclusion du contrat de mariage. Selon Mâlik, tout au plus peut-on s'en acquitter en donnant une denrée alimentaire autre que celle mentionnée dans la Sunna mais qui constitue la base du repas du pays où l'on vit. Ibn Abbâs ne l'a pas dit ici, mais d'autres ulémas  disent que le Prophète a pu, dans ce Hadîth, avoir voulu simplement recommander et non pas rendre obligatoires le renouvellement des ablutions après la consommation de quelque chose de cuit. La présence de deux témoins Le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم lui dit enfin : “Je te la marie en échange [des sourates] que tu connais du Coran.” »(13) Sur ce, il est obligatoire que la dot soit octroyée, qu’elle soit exprimée et désignée ou inexprimée, sans qu’elle en soit totalement exclue [du contrat], puisque le mariage dans lequel on ne désigne pas la dot nécessite de donner à la femme la dot qu’on donne [habituellement] à ses semblables. En effet, Muslim n'a, dans son recueil, pas cité al-Bukhârî dans la chaîne d'un seul Hadîth : est-ce une preuve que celui-ci serait inacceptable ? Mais Abû Yûssuf, élève de Abû Hanîfa, pense que cette mention est due au fait que dans le contexte où le Prophète a déclaré qu'il fallait que les deux quantités soient rigoureusement semblables, ces quatre denrées étaient vendues à la mesure, et que si on se trouve dans un autre contexte, où l'usage fait qu'ils sont vendus au poids, c'est le poids qui sera pris en compte pour vérifier l'égalité des quantités échangées dans ce troc. En effet, la demande et l’acceptation qui expriment le consentement du cœur sont, selon l’avis unanime des ulémas, les deux fondements des contrats. Et si les deux parties se disputent, le gouvernant [musulman] assurera, alors, la tutelle de celui qui n’a pas de tuteur. Abou Hanifa aurait émis un avis juridique appelant à l'insurrection contre Al-Mansour qui l'aurait empoisonné en retour. Il appartient à la dynastie des hachémites de la tribu des Quraych. Cependant, Abû Hanîfa possède une tradition même d'interprétation qui est, sur certains points, différente de celle de ash-Shafi'î et surtout de Ahmad ibn Hanbal : alors que pour ces deux derniers personnages on parle de l'école des "ahl ul-hadîth", on dit de Abû Hanîfa qu'il est de l'école des "ahl ur-ra'y" – avec un sens particulier au terme "ra'y"). ﴾Ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle ; c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants ﴿ [s. Al-Ahzâb (les Coalisés) : v.50], L’histoire même [au sujet de laquelle le verset précédent a été révélé] confirme ce qui est dit. Le contrat de mariage peut, toutefois, être conclu par tout mot ayant le sens de l’union conjugale, car « dans les contrats, c’est le contenu et le sens qui sont pris en considération et non la forme et la structure ». Abu Abdullah Muhammad bin Idris ash-Shâfi'î (أبو عبد الله محمد بن إدريس الشافعي) (767, Gaza, Palestine - 820, Égypte), ou imam Al-Chafii fut un juriste et ouléma, fondateur de l'école (madhhab) de droit musulman (fiqh) chaféite. Sa naissance et sa jeunesse (80 H) : Il est né en l'an 80 AH (699 E.C.) Si elle est inexprimée, la femme aura obligatoirement droit à la dot qu’on offre [habituellement] à ses semblables qui ont le même rang qu’elle. Voyez plutôt… Certains spécialistes du Hadîth ont dit que les Hadîths dans la chaîne de transmission desquels figure Abû Hanîfa n'est pas acceptable, car Abû Hanîfa "était certes fiable sur le plan moral ('adâla), mais non pas par rapport aux exigences intellectuelles (dhabth)". Réponse : Louange à Allâh, Maître des Mondes ; et paix et salut sur celui qu’Allâh عزّ وجلّ a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu’au Jour de la Résurrection. - Le fait qu’Allâh عزّ وجلّ a lié la permission du mariage au fait d’offrir à la femme sa dot, signifie que celle-ci est considérée comme une condition pour la validité du mariage. - www.biotecitalia.com. L’imam Abou Hanifa était un savant soucieux de ses étudiants. Sa permission est prise en considération par rapport à ce sujet, car, sans elle, nul mariage n’est valable. Rapporté par Abou Dâwoûd, chapitre du « Mariage » (hadith 2052), par El-Hâkim dans « El-Moustadrak » (hadith 2784), par Ahmed (hadith 8101) et par El-Beyhaqi (hadith 14197) par l’intermédiaire d’Abou Hourayra . Est-ce vrai que l’imam Abou Hanifa autorise le riba dans un pays non musulman ? Non, en fait cette formulation, le Prophète l'a faite en ces termes uniquement parce que Médine, là il avait prononcé cette parole, se trouvait au nord de la Mecque. Il a été dit dans sa lignée également qu’il est An-Nou’man fils de Thabit fils de An-Nou’man fils de Al-Mourzouban. Où et quand peut-on appréhender ainsi un texte au sens figuré, et où ne le peut-on pas ? Quel pouvait alors être le sens de ce Hadîth rapporté par Abû Hurayra ? Ibn Abbâs lui répondit : "Abû Hurayra, refaisons-nous les ablutions à cause de l'eau chaude ?" Ils disaient : “Il n’y a de mariage [valable] qu’en présence de témoins.” Nulle personne, parmi ces ulémas, ne disait le contraire au sujet de cette question sauf certains gens de science antérieurs. (4) Operating as usual. 14 rue imem abou hanifa marsa plage (4,587.57 mi), Get Directions +216 99 907 299. Un certain nombre de ulémas disent donc que l'accomplissement des directives du Prophète en la matière ne sera réalisé que par l'emploi du siwâk. La transmission de la règle (l'analogie) (تعدية الحكم) est de 2 types, selon le degré d'évidence, La Jâhiliyya : la situation que connaissaient les Arabes avant la venue de l'islam (1/2), Le déplacement (نقل) du sens du mot (sans modification de sa forme) (p. 2/2). Ci-après 4 dimensions qui mettent en exergue les spécificités de cette tradition hanafite en matière d'interprétation des textes : de Mohammad Aboû Zahra | 10 mai 2019. Allâh عزّ وجلّ dit dans le verset : ﴿وَٱمۡرَأَةٗ مُّؤۡمِنَةً إِن وَهَبَتۡ نَفۡسَهَا لِلنَّبِيِّ إِنۡ أَرَادَ ٱلنَّبِيُّ أَن يَسۡتَنكِحَهَا خَالِصَةٗ لَّكَ مِن دُونِ ٱلۡمُؤۡمِنِينَۗ﴾ [الأحزاب: 50]. 113-114). Combien de temps le voyageur peut-il raccourcir ses prières ? 1) Abû Hanîfa ne connaissait-il que très peu de Hadîths ? Catégorie : Fatwas relatives à la Famille Le jugement du mariage avec une fornicatrice et le fait de s’attribuer son enfant d’elle. Parmi les preuves qui annoncent de la façon la plus claire cette condition, nous citons le hadith dans lequel le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم dit : « Il n’y a pas de mariage [valable] sans tuteur »(6), ainsi que le hadith dans lequel il dit : « Toute femme qui se marie sans la permission de son tuteur, son mariage est nul, son mariage est nul, son mariage est nul [trois fois]. Parmi les conditions du mariage en Islam la présence de deux témoins musulmans et la formule échangé entre le tuteur de la femme et le futur époux. Pour Abû Hurayra, il fallait éviter ce type d'interprétation basé sur des exemples rationnels, susceptibles de relativiser le sens apparent (zâhir) du Hadîth. Le mariage en Islam a des conditions de validité qu'il est important d'observer. Le même procédé d'interprétation transparaît à propos des questions juridiques suivantes : Celui-ci déclina l’offre, préférant rester indépendant. Ibn Kathîr l’a jugé authentique dans «Irchâd El-Faqîh» (2/236). Certes. Ainsi, une fois que la demande et l’acceptation sont exprimées de façon qu’elles se rapportent à la femme qu’on a demandée en mariage(3), le contrat de mariage sera [valablement] conclu, même si la personne qui émet [la demande ou l’acceptation] le fait par plaisanterie sans vraiment le signifier. cit., p. 449). Reliure inconnue Actuellement indisponible. Les proches de la défunte la pleuraient, et le Prophète fit cette observation disant que pendant que ses proches pleuraient sa mort, la défunte était en train d'être punie dans sa tombe pour son incroyance (rapporté par Muslim, n° 932). Aussi, est-il exigé que les deux époux connaissent l’un l’autre, car si le tuteur marie l’une de ses filles sans préciser laquelle d’entre elles, le contrat ne sera pas valable. As-Sibâ'î cite al-'Ajalî, qui a évalué à près de 1500 le nombre de Compagnons du Prophète qui s'installèrent dans la seule Kufa, sans même parler des autres villes d'Irak (op. Abou Hanifa a dit : La femme toute entière est une ‘awra à l’exception de son visage, de ses mains et de ses pieds. Cheikh Habib ur-Rahmân al-A'zamî, célèbre spécialiste de Hadîths, a apporté des contre-arguments à ces avis. 3) Abû Hanîfa entendait-il donner préférence à ses opinions personnelles sur les textes des Hadîths ? Il est issu de la noble lignée des Banu Hâshim, tout comme le Prophète (salaLlahu ‘alayhi wa salam). Conclusion : Le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم lui demanda : “Quelles sont [les sourates] du Coran que tu connais ?”. Comparer Ibn Hajar et An Nawawi à Al Ghazali, Al Qardawi et leurs semblables, Les interdictions proclamées par le prophète صلى الله عليه وسلم : Interdictions absolues ou interdictions à caractère détestable. Il existe deux versets du Coran qui disent : "Ils ont un cœur (mais) ne comprennent pas par son moyen" (Coran 7/179). Cependant, la différence entre chaque verset du Coran et certains propos attribués au Prophète est que chaque verset du Coran est relaté par une quantité de gens telle qu'il est impossible qu'il y ait eu une compréhension divergente dans le texte (on ne parle pas là du sens) ; on dit que "le Coran est "mutawâtir" (bi naqli jîl 'an jîl)". Dans la génération des Tâbi'ûn, on en était arrivé à l'existence de différentes "écoles de jurisprudence" embryonnaires, les deux plus connues étant celle du Hedjaz et celle de Kufa. Abû Hanîfa en a donc déduit que Aïcha n'a pas considéré le propos de ce Hadîth, qu'elle a pourtant elle-même relaté du Prophète, comme étant à appréhender en son sens littéral, mais en un sens voisin : "bâtil" ne peut donc pas vouloir dire dans ce Hadîth : "invalide", mais : "contraire à la bienséance". Or Omar était tellement conscient des compétences de Abdullâh Ibn Mas'ud qu'il rappela un jour aux gens de Kufa combien il avait été généreux à leur égard : "Je vous ai donné préférence sur moi-même en vous envoyant Abdullâh [et en ne le gardant pas à Médine]" (Ibid., p. 452). D'autres mujtahidûn – certains étant des Compagnons eux-mêmes – ont inauguré ces méthodes bien avant Abû Hanîfa. 1.3) La compréhension d'un Hadîth donné à la lumière du principe dégagé de l'ensemble des autres Hadîths : Un exemple : différents Hadîths montrent que le Prophète levait ses mains pendant la prière à des moments différents : certains textes rapportent ainsi qu'il levait ses mains à chaque changement de position, d'autres textes qu'il les levait en cinq fois, d'autres en trois fois, et d'autres en une fois seulement (au début) (pour plus de détails, lire mon article sur le sujet).

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